
Feuilleton de la Colline – Semaine du 17 juin 2024
FRANCOPRESSE – En cette dernière semaine de session parlementaire, un rapport peu reluisant sur les langues officielles au fédéral, Postes Canada critiquée sur une question de langue, un navire et…
FRANCOPRESSE – En cette dernière semaine de session parlementaire, un rapport peu reluisant sur les langues officielles au fédéral, Postes Canada critiquée sur une question de langue, un navire et…
FRANCOPRESSE – Un rapport sur les langues officielles dans les institutions fédérales confirme que ces dernières peinent à respecter leurs obligations.
FRANCOPRESSE – Cette semaine sur la Colline, fonds fédéraux insuffisants pour les francophones, élargissement de l’enquête sur l’ingérence étrangère et vote sur la taxe sur les gains en capitaux.
FRANCOPRESSE – Les plateformes de diffusion en ligne étrangères devront désormais verser 5 % de leurs revenus au Canada pour financer du contenu canadien.
FRANCOPRESSE – Le Comité permanent du patrimoine canadien accumule les retards dans ses travaux.
FRANCOPRESSE – Cette semaine sur la Colline, les géants du numérique devront financer du contenu canadien et des rapports attirent les critiques envers le gouvernement.
FRANCOPRESSE – La ministre du Patrimoine canadien refuse de témoigner devant le Comité permanent des langues officielles. Selon des conservateurs, c’est un faux pas de sa part. Selon la loi, elle serait dans son droit.
FRANCOPRESSE – Parmi les 231 appels à la justice émis par l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées, seulement deux auraient vu le jour.
FRANCOPRESSE – Cette semaine sur la Colline, la règlementation de la Loi sur les langues officielles se laisse désirer, le Canada reste limité dans son aide à Gaza, un projet de loi est adopté à l’unanimité et un autre visant à rétablir la confiance envers le système de justice est déposé.
FRANCOPRESSE – Sept experts conseilleront la ministre du Patrimoine canadien dans sa réflexion sur le nouveau mandat de CBC/Radio-Canada. Mais aucun d’entre eux ne parle au nom des francophones hors Québec, relèvent des représentants de ces communautés.