POLITIQUE SUR LES CORRECTIONS À FRANCOPRESSE
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Quatre projets de loi en lien avec la francophonie victimes de la prorogation (le Vendredi 17 janvier 2025 10:40) :
Le projet de loi concernant la faillite des établissements postsecondaires a finalement été inclus à un autre projet de loi et a été adopté. Il a été retiré de la liste dans le texte.
Feuilleton de la Colline : les premiers ministres face à Trump et les candidats libéraux (le Vendredi 17 janvier 2025 8:46) :
Mise à jour : Chrystia Freeland a annoncé officiellement sa candidature moins de deux heures après la publication. Cette information a été ajoutée.
Services en français pour les femmes victimes de violence : la double peine (le Jeudi 16 janvier 2025 16:22) :
La version précédente du texte indiquait que Madeline Lamboley était sociologue. Elle est criminologue.
Recul du français hors Québec : un déclin nuancé selon Statistique Canada (le Mercredi 8 janvier 2025 10:45) :
La version précédente du texte indiquait :
En contexte minoritaire, 43 % des francophones ont toujours ou souvent reçu des soins de santé en français, 35 % en ont parfois ou rarement reçu et 22 % n’en ont jamais reçu.
À titre de comparaison, au Québec, 52 % des anglophones reçoivent toujours ou souvent des soins de santé en anglais, 41 % parfois ou rarement et 7 % jamais.
Le texte a été modifié comme suit :
Parmi les francophones en situation minoritaire qui estiment important de recevoir des services ou des soins de santé en français, 43 % des francophones ont toujours ou souvent reçu des soins de santé en français, 35 % en ont parfois ou rarement reçu et 22 % n’en ont jamais reçu.
À titre de comparaison, au Québec, 52 % des anglophones qui accordent cette même importance à l’anglais reçoivent toujours ou souvent des soins de santé en anglais, 41 % parfois ou rarement et 7 % jamais.
50 ans d’initiatives par et pour les jeunes (le Mardi 7 janvier 2025 15:00) :
Les deux premiers paragraphes sous l'intertitre «Le défi du financement» ont été modifiés pour présenter plus précisément la réflexion de Serge Dupuis. Voici les versions précédentes :
La FJCF, qui se définit comme groupe de pression, rencontre un problème semblable à celui des autres organismes de la francophonie canadienne. «Lorsqu’on est financé à 85 à 90 % par un seul bailleur de fonds qui est aussi la cible politique, […] on est plutôt dans un rôle de groupe de conseil du gouvernement et de liaison avec la population et c’est plutôt ce statut-là qui s’est installé dans les années 90 et 2000», explique Serge Dupuis en entrevue.
«Dans une version antérieure du titre [du livre], on avait aussi le mot “contestation”, mais on s’est rendu compte que cela était beaucoup plus présent dans les années 1970 à 1990. […] Les organisations de la francophonie canadienne, de par la forte prépondérance du financement fédéral, sont devenues quasiment des organismes parapublics, des extensions du gouvernement.»