FRANCOPRESSE – Cette semaine sur la Colline, une francophone à la Cour suprême, des tensions liées à l’actualité internationale, des «ordinateurs zombies» chinois et un règlement historique concernant les enfants autochtones.
FRANCOPRESSE – Le Centre national pour la vérité et la réconciliation (CNVR) attend toujours la transmission de documents concernant les enfants des pensionnats qui ne sont jamais rentrés à la maison.
IJL – RÉSEAU.PRESSE – Le Nunavoix (Nunavut) – Goump Djalogue, président de l’Association des francophones du Nunavut, était présent le 27 septembre devant l’Assemblée législative du Nunavut pour transmettre les recommandations de l’organisation concernant l’examen prochain de la législation linguistique du Nunavut.
FRANCOPRESSE – La ministre du Patrimoine canadien, Pascale St-Onge, a été claire : «Il n’est pas question de reculer sur C-18, parce qu’il y a 500 médias qui ont fermé au travers le Canada», a-t-elle lancé mercredi matin.
FRANCOPRESSE – En cette semaine de relâche parlementaire, le conflit entre Israël et le Hamas a occupé la plus grande place dans l’actualité.
FRANCOPRESSE – Face à une francophonie inquiète de son sort, le ministre fédéral de l’Immigration, Marc Miller, envisage d’augmenter la cible d’immigration francophone hors Québec à 6 %. Un chiffre encore insuffisant pour la FCFA.
FRANCOPRESSE – Cette semaine sur la Colline : des aveux sur l’immigration francophone, un problème de bilinguisme à la GRC, un nouveau président à la Chambre des communes et un gouvernement néodémocrate au Manitoba.
FRANCOPRESSE – La communauté anglophone du Québec n’a pas obtenu exactement ce qu’elle voulait dans la modernisation de la Loi sur les langues officielles. Les Anglo-Québécois espèrent pouvoir tirer leur épingle du jeu dans le processus de règlementation de la loi fédérale.
CHRONIQUE – Le Canada et l’Ukraine ont réaffirmé leur engagement à poursuivre une cause commune : battre les Russes en territoire ukrainien.
FRANCOPRESSE – Les députés candidats à la présidence de la Chambre des communes n’ont pas l’obligation d’être bilingues. La maitrise parfaite de l’autre langue officielle est la responsabilité de la vice-présidence de la Chambre. Mais les critères de sélection vont au-delà du bilinguisme.