
Discours du Trône Père et fils pour un même Canada
«On sait ben! C’est l’garçon de son père!» Expression d’usage courant, mais fort curieuse… On ne peut pas être père sans fils, ni fils sans père. L’un ne va pas sans l’autre.
«On sait ben! C’est l’garçon de son père!» Expression d’usage courant, mais fort curieuse… On ne peut pas être père sans fils, ni fils sans père. L’un ne va pas sans l’autre.
Le parc des Collines de Cyprès compte parmi les parcs les plus visités de la Saskatchewan. La majorité des touristes y vont l’été, mais l’hiver, grâce à sa neige abondante et le calme de sa saison creuse, le parc offre une expérience de plein air digne de votre considération.
Ni animal, ni végétal, ni champignon, mais bien vivant! Dépourvu de cerveau, mais intelligent! Unicellulaire, mais géant! Rencontre avec le blob, cette créature qui sort de 500 millions d’années de mutisme.
La vérificatrice générale du Nouveau-Brunswick, Kim MacPherson, a sonné l’alarme au sujet de la diminution de familles d’accueil dans la province. Dans un rapport navrant de 60 pages, elle décrit un système en détérioration.
Le site Web «Le projet Voltaire» définit cette expression ainsi : «Une personne qui tente de ménager la chèvre et le chou est […] perçue comme cherchant à satisfaire des intérêts ou des protagonistes opposés […]». C’est ce qu’a fait de main de maitre l’ombudsman de Radio-Canada, Guy Gendron, dans sa décision concernant l’émission spéciale de la soirée électorale du 21 octobre dernier.
Ce qui enrage Greta Thunberg et qui nous interpelle tant par sa justesse, c’est qu’elle exige de nos gouvernements d’écouter les vérités scientifiques concernant le réchauffement climatique et d’agir en conséquence.
«Maman…» Deux syllabes, deux phonèmes, le mot français le plus facile à prononcer, le premier appel parlé d’un jeune enfant à sa mère. C’est comme une seconde naissance : celle du bébé d’abord puis celle du francophone. Ce mot, c’est la jeune pousse fragile qui sort de terre après les semailles. En milieu fertile, elle trouvera le soleil et grandira sans césure pour devenir un beau tournesol. Dans le cas contraire, elle cherchera en vain la lumière.
Deux visions de la Francophonie se côtoient. L’une évoque l’avenir d’un Québec en évolution à côté des minorités en perdition. L’autre croit toujours en la force d’un français épanoui partout au Canada.
Le « Printemps érable », les « carrés rouges », ça vous rappelle quelque chose ? C’était en 2012, inoubliable printemps de grèves étudiantes contre la hausse des frais de scolarité. Je me souviens d’avoir été portée par une immense espérance devant ces milliers de jeunes défilant dans les rues du Québec, impressionnée par le discours et la manière de faire de leurs porte-paroles. À l’instar de beaucoup de citoyens de tous âges, j’ai arboré le carré rouge des étudiants. Leur mobilisation m’a redonné confiance en l’avenir.
Commencer une nouvelle chronique qui paraitra dans plusieurs médias est un peu énervant. On se demande quel style adopter, un ton enjoué ou « deadpan » sérieux, une accumulation de faits ou plutôt une analyse mêlée d’opinions? On se questionne aussi sur le sujet. Quelle question intéressera des lecteurs de partout au pays? Peut-on trouver un angle national à la hausse d’impôts fonciers à Saskatoon ou la réfection des routes à Sudbury? L’élection de gouvernements conservateurs purs et durs au Nouveau-Brunswick et en Ontario pourrait-elle avoir une incidence sur les Franco-Manitobains? Voilà des questions que je tenterai de démêler dans les prochains mois.