
Écorchés par la pandémie, les finissants vont de l’avant
FRANCOPRESSE – «Le virus a volé plusieurs années de nos vies. Nous n’avons pas eu la chance de vivre notre adolescence, de socialiser, de découvrir le monde.» Apollo Sévigny de Yellowknife exprime ce que ressentent plusieurs élèves du secondaire. Conscients des répercussions de la pandémie sur la santé mentale des élèves, certains établissements postsecondaires ont décidé d’ajuster leurs procédures d’accueil des nouveaux étudiants.