
Les politiciens doivent avoir la couenne dure à l’heure des médias sociaux
ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Le chercheur à l’Université Ontario Tech Gilbert McLaughlin observe qu’au moins 62 % des candidats néobrunswickois aux dernières élections provinciales ont subi des propos malveillants sur Internet. «Je pense que ce taux est plus élevé en réalité, car lors de dix entrevues, les candidats m’ont dit que pour éviter d’être troublés, c’était leur équipe qui s’était occupée des messages», ajoute le sociologue.