
Une université bilingue qui ne rêve pas en français
LE VOYAGEUR (Ontario) – Le français relégué au second plan. Les étudiants devenus des clients et les programmes des produits. Le recrutement intensif d’étudiants internationaux francophones qui a commencé une dizaine d’années après celui des anglophones… Pour ces raisons, et bien d’autres, les professeurs participant à la conférence Les défis de l’enseignement universitaire en français dans le nord de l’Ontario souhaitent voir les francophones s’affranchir de la structure bilingue de la Laurentienne.