FRANCOPRESSE – Sans garanties d’indépendance et d’équité à leur égard, les médias communautaires ont choisi de ne pas signer l’entente proposé par les plus grands médias.

Si l’éducation reste une compétence provinciale, certains acteurs du secteur souhaitent la mise en place d’une stratégie nationale sur le postsecondaire, incluant une réflexion sur le financement.

FRANCOPRESSE – La nouvelle Loi sur les langues officielles laisse encore trop de confusion dans la division des responsabilités envers les établissements d’éducation postsecondaires en milieu minoritaire.

FRANCOPRESSE – Les conflits à l’étranger et les horreurs qu’ils engendrent sont de plus en plus visibles sur tous nos écrans. Pour certains journalistes, regarder les images de ces affrontements peut représenter un travail à temps plein et un risque pour leur santé mentale.

ENTRETIEN – Malgré des intérêts communs, les francophones du Québec et ceux en situation minoritaire se retrouvent parfois en opposition dans des causes concernant les langues officielles.

ENTRETIEN – La souveraineté du Québec sera au centre de la prochaine campagne électorale de Paul St-Pierre Plamondon. Mais en cas d’indépendance, le chef du Parti québécois (PQ) affirme qu’il n’oubliera pas les francophones en situation minoritaire, qu’il considère comme un «modèle de courage».

FRANCOPRESSE – Des experts en immigration se sont sentis ignorés dans les dernières années. Les récents défis en immigration ne leur évoquent alors que peu de surprise.

FRANCOPRESSE – Un protocole d’entente a été conclu entre l’Université de Sudbury et l’Université d’Ottawa, afin de combler les besoins en formation postsecondaire en français dans le Nord de l’Ontario. Sudbury pourra compter sur des ressources d’Ottawa, mais la question du «par et pour» les francophones refait surface.

FRANCOPRESSE – Faisant face à des situations de plus en plus dramatiques et à la diminution des revenus, le journalisme local est aussi sous pression.

FRANCOPRESSE – Un recensement de l’Ordre des infirmières et infirmiers de l’Ontario, qui doit mener vers des politiques plus «équitables et inclusives», n’a pas été traduit en français. Des membres francophones de l’ordre s’expliquent mal cette décision, tandis que d’autres prennent note de l’occasion manquée.