

FRANCOPRESSE – L’accès à des ressources confidentielles en français en santé mentale peut relever de l’exploit dans certaines collectivités. La proximité des membres des communautés francophones en milieu minoritaire peut en freiner certains dans leur désir d’aller chercher des soins. La création de partenariats interprovinciaux s’impose comme solution pour plusieurs experts du domaine.
FRANCOPRESSE – Sans possibilité de recevoir la visite de leur famille, plusieurs ainés se sentent seuls et coupés du monde. La technologie peut leur venir en aide, et les personnes âgées s’en servent bien plus qu’on pourrait le croire, mais encore faut-il avoir accès à un réseau Internet efficace et aux appareils numériques. Quelques organismes canadiens collaborent présentement dans le but de connecter les ainés et de briser leur isolement, un grand défi à relever en contexte de pandémie, alors que les besoins se font plus pressants.
ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Les vendeurs de sapins du Nouveau-Brunswick disent s’attendre à une forte demande de la part des consommateurs à la recherche d’une activité de plein air permettant la distanciation physique et qui souhaitent ajouter un peu d’esprit des fêtes dans leur maison, où ils passent davantage de temps, durant cette deuxième vague de COVID-19.
IJL – LE DROIT – «Ça me brule, parce que je n’arrête pas de penser à la dame qui n’a pas été capable de témoigner en Cour pour agression sexuelle.»
IJL (Territoires) – Le jeu vidéo néozélandais créé pour aider les jeunes autochtones à lutter contre la dépression a été adapté pour être plus accessible aux adolescents inuits.
L’EAU VIVE (Manitoba) – Le cyberharcèlement est devenu un sujet chaud au sein de la fransaskoisie d’aujourd’hui, endommageant des vies et empêchant les gens de s’impliquer pleinement dans la communauté. Pour maintenir une vie communautaire saine, les organismes fransaskois proposent ainsi à leurs membres de prendre pleinement conscience du phénomène afin de mieux le combattre.
LE VOYAGEUR (Ontario) – Au cours des 15 semaines précédant la pandémie, il y a eu en moyenne 34 décès* par semaine dus aux opioïdes, selon un rapport publié le 10 novembre par Santé publique Ontario. Ce chiffre a bondi à 46 décès* hebdomadaires les trois premiers mois de la pandémie, soit une hausse de 38 %. Pour les professionnels, il s’agit d’une crise de santé publique et ignorer les toxicomanes affecterait tous les niveaux de la société.