Travailler, la peur au ventre
À l’Île-du-Prince-Édouard, ils sont caissiers, employés à l’aéroport ou dans une maison de retraite. Ils ne peuvent pas faire de télétravail et racontent leur vie pendant la pandémie de la COVID-19.
À l’Île-du-Prince-Édouard, ils sont caissiers, employés à l’aéroport ou dans une maison de retraite. Ils ne peuvent pas faire de télétravail et racontent leur vie pendant la pandémie de la COVID-19.
FRANCOPRESSE – La pandémie de la COVID-19 a d’importantes conséquences financières pour les journaux et les radios communautaires francophones à travers le pays, un secteur qui a déjà connu son lot de difficultés au cours des dernières années. Comme le mentionne le propriétaire du Moniteur acadien, Bernard Richard, «la presse écrite vivait des moments difficiles avant même la crise de la pandémie COVID-19. Ça vient ajouter au fardeau existant.»
LE FRANCO (Alberta) – La pandémie de coronavirus qui frappe le monde nous plonge dans un scénario de film de science-fiction. Confinement, effondrement de l’économie, omniprésence de discours politiques et de statistiques sur l’épidémie, tout cela provoque une anxiété difficile à gérer. Connie Leclair, psychologue à Calgary, donne ses conseils pour mieux vivre cette crise historique.
FRANCOPRESSE – S’activer pour briser l’isolement des personnes âgées : c’est la mission que se donnent quelques associations membres de la Fédération des ainées et ainés francophones du Canada en pleine guerre contre la COVID-19. Des initiatives qui devraient porter fruit, notamment grâce au programme téléphonique ConnectAînés.
L’ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – «Monsieur, avez-vous besoin d’un repas?» C’est quelque chose qu’on entend souvent au coin des rues Mountain et Norwood, à Moncton. Même en situation de pandémie, la soupe populaire Ray of Hope Needy Kitchen offre toujours des repas à ceux qui en ont besoin.
FRANCOPRESSE – Même avec tout l’amour du monde pour celui ou celle qu’ils aident, les personnes proches aidantes ont aussi besoin de répit. C’est vrai en milieu minoritaire comme partout ailleurs, et la consultante indépendante auprès d’organismes communautaires francophones de l’Ouest canadien Agathe Gaulin l’a vite compris. Depuis 20 ans, elle tente d’implanter le système du baluchonnage dans les communautés franco-canadiennes, particulièrement dans l’Ouest.
Les Inuits s’inquiètent de leur place dans la réponse fédérale pour soutenir la population canadienne durant la crise du coronavirus.
Les circonstances exceptionnelles dans lesquelles est plongé le monde depuis quelques semaines n’empêchent pas les journaux membres de l’Association de la presse francophone (APF) et du réseau Francopresse de travailler d’arrachepied pour fournir aux lecteurs de l’information locale de qualité. D’est en ouest, une panoplie d’articles ont été publiés sur le web par les journaux membres de l’APF. État de la situation.
FRANCOPRESSE – Au 17 mars, le Canada recense 478 cas de COVID-19 et les provinces de l’Ontario et de la Colombie-Britannique sont les plus touchées avec respectivement 185 et 103 cas déclarés. En revanche, les trois territoires semblent pour le moment épargnés, car aucun cas n’a officiellement été déclaré. N’empêche, ici comme ailleurs, des mesures préventives sont mises de l’avant.
FRANCOPRESSE – La population noire, qui représente 3,5 % de la population totale du Canada, est jeune, diversifiée et son niveau de scolarité a augmenté depuis 2001. Toutefois, les écarts de rémunération et d’emploi qui existaient déjà se sont encore creusés dans les dernières années selon une récente étude de Statistiques Canada.Zoom sur quatre grandes villes canadiennes.