L’AQUILON (Territoires du Nord-Ouest) – Une campagne nationale visant à sensibiliser la population canadienne sur les enjeux de la violence genrée vient d’être lancée par L’Alliance des femmes de la francophonie canadienne.
FRANCOPRESSE – William Lusk Webster, natif de Shediac, au Nouveau-Brunswick, a côtoyé plusieurs scientifiques qui allaient jouer un rôle important dans la fabrication de la bombe atomique.
IJL – RÉSEAU.PRESSE – LE VOYAGEUR (Sudbury) – Le conseil municipal du Grand Sudbury a adopté à l’unanimité une résolution demandant la mise en place d’une stratégie qui mènerait à la fin de l’itinérance dans le Grand Sudbury d’ici 2030.
IJL – RÉSEAU.PRESSE – LA VOIX ACADIENNE (Île-du-Prince-Édouard) – À l’occasion de la Semaine nationale des journaux, Marie-Linda Lord, professeure en information-communication à l’Université de Moncton, revient sur la crise que traversent les journaux francophones en situation minoritaire.
IJL – RÉSEAU.PRESSE – LA VOIX ACADIENNE (Île-du-Prince-Édouard) – Catherine Meek-Bouchard, doctorante en psychologie à l’Université du Québec à Montréal, et Lyne Chantal Boudreau, professeure en éducation à l’Université de Moncton, décortiquent le concept de consentement.
FRANCOPRESSE – La sortie du film Oppenheimer en juillet dernier a ravivé l’intérêt sur l’histoire de la fabrication de la première bombe atomique. Un Canadien originaire du Nouveau-Brunswick a œuvré dans l’ombre : William Lusk Webster.
IJL – RÉSEAU.PRESSE – L’AURORE BORÉALE (Yukon) – À l’approche de la troisième Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, plusieurs activités et occasions d’apprentissage se dessinent afin de permettre à de plus en plus de personnes de comprendre et de s’éduquer.
CHRONIQUE – Le 1er octobre, à Québec, je vais courir mon premier marathon. Ma toute première course. Pour certains, courir 42,2 km parait impossible. Pour d’autres, ce n’est qu’une simple formalité.
IJL – RÉSEAU.PRESSE – LE FRANCO (Alberta) – La hausse du coût de la vie, la crise du logement et l’inflation persistante font craindre le pire à certains étudiants albertains.
FRANCOPRESSE – De moins en moins d’Autochtones au Canada ont comme langue première parlée des langues autochtones. Pour certains spécialistes, la survie de celles-ci n’est pas assurée.