

FRANCOPRESSE – «Petit vilain», c’est ce que me dit en riant ma petite-fille de quatre ans quand je lui joue des tours. De plus en plus, je trouve que ce mot décrit bien nos gouvernements en temps de pandémie. Parce que, sous couvert de la crise sanitaire, eux aussi nous jouent des tours.
FRANCOPRESSE – Le racisme antinoir est ancré dans l’histoire des établissements postsecondaires. Les disciplines comme l’anthropologie, la santé, la psychologie et même la politique ont mené à des études et à des débats sur les questions raciales. Malheureusement, plusieurs ont été menés de manière non éthique et parfois dégradante. Aujourd’hui, plusieurs chercheurs pourraient gagner à avouer leurs torts devant le racisme. L’accumulation des faux pas provoque la résistance.
LETTRE OUVERTE – Force est de constater que le débat autour des moyens à employer pour lutter contre le racisme et l’exclusion qui fait rage en ce moment à l’Université d’Ottawa et dans la société canadienne est à la fois éthique, professionnel et, oui, personnel. Pour bien comprendre les prises de position de chacun, on ne peut faire fi de l’importance du dernier, lequel oriente souvent nos prises de position. Nourri par un désir brulant de sortir de l’impasse actuelle, je vous propose ce billet au «je» pour expliquer les origines de mes convictions.
L’EAU VIVE (Saskatchewan) – Voilà une médaille dont la Saskatchewan se serait bien passée : celle de la plus grande émettrice de gaz à effet de serre par habitant du Canada… Et à peu de chose près, de la terre.
FRANCOPRESSE – Cet été, j’ai eu la chance de survoler une partie du parc national Kluane, au Yukon, en avion léger. Ce parc, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, abrite le plus grand champ de glace non polaire au monde. On y trouve également le mont Logan, le plus haut sommet du Canada, qui culmine à quelque 5 956 mètres d’altitude. Une expérience magique, bien entendu : tout n’y est qu’immensité, blancheur et silence, si ce n’est le vrombissement des moteurs et les exclamations de joie des camarades d’aventure.
ARC DU CANADA – Ils dorment dans de beaux hôtels et mangent gratuitement aux meilleures tables. Comment peut-on, à 22 ou 23 ans, connaitre un tel train de vie, alors qu’on est généralement encore aux études à cet âge et qu’on traine derrière soi une dette de collège ou d’université? Ils cherchent à influencer.
L’EXPRESS (Toronto) – Le «racisme systémique» est subtil. C’est comme un gaz nocif, inodore et transparent. Des recruteurs pour un cabinet juridique peuvent être influencés par tellement d’éléments pour décider si une personne sera convoquée ou non pour une entrevue. Cela peut être même par le prénom ou le nom de famille d’un candidat à un poste.