

FRANCOPRESSE – Lecteurs, tenez-vous bien, je ne suis pas content. En fait, je suis tanné d’entendre et de lire ces petits séparatisses — dixit Jean Chrétien — québécois qui prédisent la disparition des Franco-Canadiens. Qu’il me suffise de montrer du doigt : la Bombardier, le Bloc québécois et le mouvement Impératif français. Ces personnes n’hésitent pas à joindre des groupes en ligne comme «Fier d’être Franco-Ontarien // Fière d’être Franco-Ontarienne» pour venir y distiller leurs inepties. Surtout pour y affirmer que seule l’indépendance du Québec peut sauver la francophonie. Comme on dit, ils devraient nous sacrer patience. Réjean Grenier, chroniqueur – Francopresse
FRANCOPRESSE – Ça va mal dans le monde de l’éducation universitaire en français en Ontario. D’abord, il faut savoir qu’il n’y a pas encore d’université de langue française en Ontario : il y a deux universités dites bilingues, l’Université d’Ottawa et l’Université Laurentienne à Sudbury, qui offrent certains programmes en français. Il y a aussi la petite Université de l’Ontario français qui devrait ouvrir ses portes en septembre prochain. Toutes trois sont dans la mouise.
LETTRE OUVERTE – L’automne dernier, des médias d’information écrits de partout au Canada ont fait front commun pour presser le gouvernement fédéral et tous les députés à la Chambre des communes de se joindre aux démocraties du monde entier pour lutter contre la dominance de Google et de Facebook.
FRANCOPRESSE – La ministre du Développement économique et des Langues officielles, Mélanie Joly, n’a toujours pas apporté de clarifications quant au moment du dépôt et de l’adoption d’un projet de modernisation de la Loi sur les langues officielles. Les multiples engagements du gouvernement dans ce dossier, qui ont alimenté des attentes élevées au sein de la francophonie canadienne, tardent à se concrétiser.
FRANCOPRESSE – Dans son premier discours après son assermentation en tant que chef d’état-major de la Défense du Canada, l’amiral Art McDonald s’est excusé auprès des victimes de racisme, d’inconduite haineuse et de harcèlement sexuel au sein des Forces armées canadiennes. Ces trois comportements malsains sont tous déplorables, mais à la lumière de la montée de l’extrémisme dans le monde, arrêtons-nous quelques instants sur l’inconduite haineuse.