

L’EAU VIVE (Saskatchewan) – Près d’un millier de tombes anonymes, près d’un millier d’enfants autochtones morts d’on ne sait quoi, on ne sait quand. On en a découvert 215 sur le terrain de l’ancien pensionnat autochtone de Kamloops, en Colombie-Britannique, et 751 à Marieval, en Saskatchewan. Et on en découvrira d’autres. Pour reprendre les paroles du chef de l’Assemblée des Premières Nations, Perry Bellegarde, «ce n’est que la pointe de l’iceberg».
L’EXPRESS (Toronto) – Markoosie Patsauq (1941-2020) a publié le roman Chasseur au harpon en trois volets, entre 1969 et 1970, dans les pages de l’Inuktitut Magazine.
FRANCOPRESSE – Justin Trudeau peut et doit faire mieux en ce qui concerne la représentation des francophones de l’Ouest et de l’Atlantique au Sénat. Il a l’occasion de le faire au courant des prochains mois, avec plusieurs sièges à pourvoir.
LETTRE OUVERTE – Pendant que les Québécois achètent et savourent les produits du Québec vendus à l’épicerie, les agriculteurs doivent comme toujours composer avec les aléas de dame Nature. Trop ou pas assez d’eau, gel précoce, chaleur intense. Les conditions météorologiques durant les périodes de production importantes sont de plus en plus imprévisibles. Et avec l’été que nous avons, il est fort à parier que les choses empireront.
LE COURRIER DE LA NOUVELLE-ÉCOSSE (Nouvelle-Écosse) – Nous sommes à Mi’kma’ki, le territoire ancestral et non cédé du peuple Mi’kmaq, et nous les reconnaissons comme les gardiens passés, présents et futurs de cette Terre. En tant que journal acadien francophone de la province, nous sommes reconnaissants de travailler et de construire une communauté ici.
LE VOYAGEUR (Ontario) – L’une des pièces de théâtre les plus complexes à avoir vu le jour sur la scène canadienne vient tout juste de paraitre pour qui veut revivre la magie du Wild West Show de Gabriel Dumont/Gabriel Dumont’s Wild West Show (Éditions Prise de parole/Talonbooks, 2021) jouée pour la première sur les planches en 2017 à Montréal, Ottawa, Winnipeg et Saskatoon.
LETTRE OUVERTE – Nous croyons en l’avenir du théâtre en Acadie. Depuis quelques années, le milieu croît à une vitesse phénoménale. Les opportunités d’emploi et les offres culturelles se multiplient. Ce milieu florissant, ce sont les artistes-créateurs qui le tiennent à bout de bras, en grande majorité des ancien.ne.s du Département d’art dramatique de l’Université de Moncton.