
Camionneurs, vaccins et tablettes vides
LETTRE OUVERTE – Dans de nombreuses régions du pays, les consommateurs signalent un nombre croissant d’étagères vides dans les épiceries.
LETTRE OUVERTE – Dans de nombreuses régions du pays, les consommateurs signalent un nombre croissant d’étagères vides dans les épiceries.
LETTRE OUVERTE – Les mandats de vaccination pour les travailleurs essentiels ont la cote auprès des Canadiens. Depuis le 15 janvier, les camionneurs en provenance des États-Unis doivent présenter une preuve vaccinale en entrant au Canada.
LETTRE OUVERTE – Manger de la viande devient un luxe dans la plupart des pays du monde, même au Canada. La dinde et le bacon n’ont jamais couté si cher. La bonne nouvelle? Les Canadiens semblent mieux outillés que jamais pour gérer ces augmentations.
LETTRE OUVERTE – La soirée électorale du 20 septembre 2021 pourrait hypothétiquement placer les Canadiens et les Canadiennes devant une problématique — un défi, diront certains — tout à fait spéciale. En effet, les conservateurs pourraient obtenir plus de sièges que les libéraux tout en n’étant pas à même de former un gouvernement majoritaire. De plus, le premier ministre sortant Justin Trudeau pourrait annoncer qu’il n’a pas l’intention de démissionner et considérer au contraire la possibilité de demeurer au pouvoir.
LETTRE OUVERTE – Pendant que les Québécois achètent et savourent les produits du Québec vendus à l’épicerie, les agriculteurs doivent comme toujours composer avec les aléas de dame Nature. Trop ou pas assez d’eau, gel précoce, chaleur intense. Les conditions météorologiques durant les périodes de production importantes sont de plus en plus imprévisibles. Et avec l’été que nous avons, il est fort à parier que les choses empireront.
LETTRE OUVERTE – Nous croyons en l’avenir du théâtre en Acadie. Depuis quelques années, le milieu croît à une vitesse phénoménale. Les opportunités d’emploi et les offres culturelles se multiplient. Ce milieu florissant, ce sont les artistes-créateurs qui le tiennent à bout de bras, en grande majorité des ancien.ne.s du Département d’art dramatique de l’Université de Moncton.
LETTRE OUVERTE – Lors de la dernière rencontre de la Coalition des éditeurs francophones et de Médias d’Info Canada le 2 juin dernier, nous avons appris que le ministre du Patrimoine canadien, Steven Guilbeault, a fait volteface quant au dépôt cet été d’un projet de loi, selon le modèle australien, afin de règlementer Google et Facebook. Il s’agit d’un recul important, surtout en marge d’élections fédérales très probables cet automne.
LETTRE OUVERTE – Plus que jamais, il semble que l’avenir des établissements postsecondaires de langue française soit à un tournant de leur histoire. Ces derniers mois ont mis en lumière toute leur fragilité, que ce soit le Campus Saint-Jean, fortement affecté par les coupes du gouvernement albertain ; l’Université de Moncton où certains départements sont réduits à la portion «convenable» en raison de l’augmentation des frais de scolarité, palliatifs à la baisse du financement du gouvernement néobrunswickois ; ou encore la nouvelle Université de l’Ontario français (UOF) qui peine à attirer de nouveaux étudiants, sans parler des déboires ubuesques de la désormais Laurentian University. L’annonce de l’indépendance de l’Université de Hearst (enfin!) s’avère la seule bonne nouvelle dans ce marais de cataclysmes.
LETTRE OUVERTE – Dans la chronique de Réjean Grenier intitulée Le piège constitutionnel du gouvernement Legault, parue le 23 mai 2021 sur Francopresse, un commentaire, entre autres, m’a fait sursauter. L’auteur écrit : «Une fois ce précédent accepté, qu’est-ce qui empêcherait par exemple le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs – ancien membre du parti antibilinguisme Confederation of Regions (CoR) – de faire inscrire dans la Constitution que l’anglais est la seule langue officielle de cette province?» En écrivant ce commentaire, M. Grenier montre une incompréhension de la réalité constitutionnelle du Nouveau-Brunswick.
LETTRE OUVERTE – La Laurentian University – Université Laurentienne s’est placée sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers le 1er février dernier ; son campus du lac Ramsey en tremble encore. Depuis, l’équipe de direction et le Conseil des régents de l’Université de Sudbury redoublent d’efforts pour assurer la survie de leur établissement et pour la transformer en université gouvernée «par, pour et avec» les Franco-Ontariennes et les Franco-Ontariens.