
Éditorial : Le français pour tous et pour toutes
AURORE BORÉALE (Yukon) — Sous ses apparats grandioses et éloquents, le français laisse dépasser le jupon de son sexisme. Exit les Beauvoir, Sand ou Veil, c’est la langue de Molière! Encore aujourd’hui, les échos de son idéologie patriarcale et archaïque résonnent dans les salles de classe et de rédaction francophones.