FRANCOPRESSE – Chaque année, c’est la même rengaine : à l’approche du 8 mars, fleuristes, boutiques de maquillage et magasins de mode féminine s’en donnent à cœur joie. Et que voilà un rabais pour une crème de jour raffermissante à l’huile de perles noires du Brésil, et que voici un code promo pour une paire de bottines vintage en cuir nordique. Achetez deux culottes, repartez avec cinq ; aujourd’hui, c’est votre fête!
FRANCOPRESSE – La ministre des Langues officielles, Mélanie Joly, a récemment publié un «livre blanc» sur la réforme de la Loi sur les langues officielles – LLO pour les intimes. On peut dire que, dans la communauté francophone canadienne, ce document était attendu avec une brique et un fanal. Plusieurs espéraient que la Loi serait modifiée en 2019, lors de son 60e anniversaire. Ils voyaient l’étape d’un livre blanc comme une stratégie pour gagner du temps ; ce qui pouvait sembler une bien mauvaise stratégie de la part d’un gouvernement minoritaire qui, par définition, n’a pas beaucoup de temps.
LETTRE OUVERTE – Ceci est une réaction à la chronique de M. Réjean Grenier, publiée sur votre site Web le mercredi 17 février. Il n’est pas coutume pour la SNA de répondre à une chronique, mais dans le cas qui nous occupe, nous croyons que certaines affirmations devaient être corrigées.
LIBRE OPINION – Chaque année, le Canada accueille une impressionnante variété d’étudiants internationaux désirant poursuivre leurs études en français. Si la grande majorité choisit d’étudier au Québec, plusieurs se dirigent vers les communautés francophones hors Québec. Au cours de la dernière décennie, la population étudiante internationale du Canada a triplé.
ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Au Canada, les francophones ont un rapport quasi schizophrénique avec les deux langues officielles. On connait tous l’exemple de ce groupe de francophones qui se mettent à parler en anglais dès que se pointe un unilingue anglophone. Certains opineront que c’est un signe de politesse. Les esclaves aussi étaient polis. Ils avaient intérêt à l’être!
ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Au Canada, les francophones ont un rapport quasi schizophrénique avec les deux langues officielles. On connait tous l’exemple de ce groupe de francophones qui se mettent à parler en anglais dès que se pointe un unilingue anglophone. Certains opineront que c’est un signe de politesse. Les esclaves aussi étaient polis. Ils avaient intérêt à l’être!
LETTRE OUVERTE – La déclaration commune émise par le Groupe de travail sur la sécurité linguistique le 18 février réaffirme une fois de plus la nécessité d’agir collectivement afin de favoriser la sécurité linguistique au pays. En tant que présidente de la Fédération de la jeunesse canadienne-française, je suis ravie de savoir à quel point nous pouvons compter sur l’appui d’un réseau de partenaires aussi engagé.
FRANCOPRESSE – Après des mois d’attente, la ministre du Développement économique et des Langues officielles, Mélanie Joly, a finalement dévoilé une ambitieuse réforme pour renouveler l’action du gouvernement fédéral en matière de langues officielles. La teneur des propositions démontre une réelle ouverture du gouvernement fédéral envers une protection accrue des droits linguistiques et davantage d’appui aux communautés. Il y a toutefois une ombre au tableau : le format choisi pour présenter la réforme, soit un document de travail. Ceux qui s’attendaient à une Loi modernisée en 2021 devront s’armer de patience.