

Signe évident que les élections provinciales approchent, la première ministre Kathleen Wynne n’a pas hésité lors de son passage à Ottawa lundi à décocher plusieurs flèches à l’endroit de son rival progressiste-conservateur, Doug Ford, qu’elle accuse d’avoir « non pas un plan, mais uniquement des slogans ».
Mgr Albert LeGatt souhaite formellement demander pardon aux Autochtones blessés par l’expérience des écoles résidentielles au nom de l’Archidiocèse de Saint-Boniface. Mais avant de poser son geste, il croit qu’il reste beaucoup de travail à faire.
À l’occasion de la Journée internationale de la francophonie, le 20 mars, Emmanuel Macron a prononcé un discours pour la langue française et le plurilinguisme qui a marqué les esprits. Sa stratégie de modernisation et de promotion du français se distingue de celle de ses prédécesseurs, annonçant l’aube d’une « nouvelle francophonie ».
L’Association francophone à l’éducation des services à l’enfance de l’Ontario (AFÉSEO) ouvrira officiellement un premier Centre de leadership en petite enfance dans l’Est ontarien le 8 juin. L’initiative permettra d’implanter de façon expérimentale le nouveau cadre d’enseignement imposé par la province et qui est axé sur l’apprentissage par le jeu et l’intérêt de l’enfant.
Côté cour, on lui doit le tout récent Projet 200 à Saint-Boniface. Côté jardin, on l’a vue l’automne dernier à Toronto dans Le dire de Di de Michel Ouellette. Plus que jamais, Marie-Ève Fontaine s’approprie le théâtre francophone qui sort des sentiers battus.
Chaque semaine, par le biais de Francopresse, un sénateur ou une sénatrice présente un texte d’opinion sur un sujet pertinent pour les lecteurs de Francopresse et des journaux membres de l’Association de la presse francophone. Les opinions exprimées dans ces textes n’engagent que leurs auteur(e)s.
Déportée de Grand-Pré en 1755, la famille Melançon verra l’un de ses descendants, Constant, être au cœur d’un événement tragique, 100 ans plus tard. Un fait dramatique mettant ainsi en lumière les relations entre les Cadiens et les Noirs de la Louisiane.
Mary MacPhee recommande que les parents non francophones dont les enfants vont à une des écoles de la Commission scolaire de langue française soient mieux encadrés.
Lire avec fiston est un projet qui vise à donner le gout de la lecture aux garçons de 3e et 4e années en prêchant par l’exemple. On assemble un trio enfant/parent/futur enseignant — ce que l’instigatrice, la professeure associée de l’Université Laurentienne Isabelle Carignan appelle « trio testostérone ». Les deux adultes deux modèles de lecteurs masculins deviennent pour un jeune.