Le Plan sur les langues officielles 2018-2023 a monopolisé la 23e Conférence ministérielle de la francophonie canadienne alors que les ministres ont fait le suivi de dossiers aux effets pour l’instant intangibles.
Le commissaire aux langues officielles du Canada déposera son propre mémoire sur la modernisation de la Loi sur les langues officielles. C’est ce qu’il a déclaré lors de la 23e Conférence ministérielle sur la francophonie canadienne.
« Ici au Yukon, le fait d’avoir des ancêtres francophones donne le droit d’aller dans une école francophone », a dit Kluane Adamek, précisant qu’au nom de l’équité, les élèves autochtones devraient se voir offrir des choix similaires.
À Saint-Boniface, on a dévoilé en juin un espace de reconnaissance métisse. Pour la présidente de l’Union nationale métisse Saint-Joseph, le coup est double : il reconnait les défis d’il y a 100 ans et offre un lieu aux jeunes qui réclament leur identité métisse.
Le 25 juin, la Ville de Hearst, dans le Nord de l’Ontario a fait la levée du drapeau arc-en-ciel pour souligner le mois de la fierté LGBTQ. Une citoyenne avait demandé en mai de faire flotter le drapeau à l’Hôtel de Ville.
L’été est enfin arrivé. Et avec lui, son lot de festivals. Que vous mettiez les voiles vers l’Acadie, que vous preniez l’autoroute vers l’Ontario ou la clé des champs vers l’Ouest canadien, ces suggestions vous aideront à planifier vos sorties francos.
Après avoir parcouru à vélo une partie du chemin de fer de la baie d’Hudson, un jeune Belge a quitté Winnipeg le 3 juillet. Arnaud Maldague s’est lancé dans un défi fou : parcourir l’Amérique du Nord au Sud, sans utiliser de véhicule motorisé ou de fuel.
Un pont entre les maisons natales des auteures Gabrielle Roy, à Saint-Boniface, et de l’écrivaine Colette, dans l’Yonne, en France, est en voie d’être jeté. Les espoirs de retombées positives pour la Maison et le Manitoba à plusieurs niveaux sont grands.
Selon Canadian Parents for French, l’entente avec la France et le Plan sur les langues officielles pourront remédier à la pénurie d’enseignants de français langue seconde.