Francopresse. Ottawa investira 595 millions sur cinq ans pour soutenir le journalisme au Canada avec plusieurs mesures : crédits d’impôt, possibilités de dons de citoyens et retour de pubs fédérales. Une sortie de la crise médiatique serait-elle en vue?
Le Gaboteur, TNL. Rêver d’une bibliothèque jeunesse garnie de titres canadiens écrits en français n’est pas farfelu. Des représentants de la littérature jeunesse francophone et d’éditeurs franco-canadiens en ont fait la preuve.
La Voix acadienne, IPÉ. C’est officiel : l’Île-du-Prince-Édouard accueillera dans cinq ans athlètes et amateurs de sports d’hiver à l’occasion de la 29e édition des Jeux du Canada.
Le Gaboteur, TNL. Chaque année, Communication-Jeunesse répertorie toutes les parutions québécoises et franco-canadiennes, entre 650 et 700 ouvrages annuellement.
L’Express, ON. Les deux tiers des enfants canadiens n’atteignent pas un niveau acceptable de littératie physique. Pourtant, l’activité physique a des effets positifs à bien des égards. Une chronique signée Fred Audoin.
Le Gaboteur, TNL. Le Festival du Vent a présenté un spectacle qui a réuni le Québécois Antoine Lachance et le Fransaskois Étienne Fletcher. Rencontre avec ces deux musiciens qui ont fait sept escales en francophonie canadienne.
Opinion. Quatre sénateurs de la francophonie canadienne lancent un appel au dialogue ouvert, sur la place du bilinguisme et de la dualité linguistique au Canada : lettre ouverte de René Cormier, Josée Forest-Niesing, Raymonde Gagné et Lucie Moncion.
Opinion. La fermeture d’une université en Occident est un geste grave : il s’agit d’un assaut contre l’idéal du haut savoir. Se cacher derrière des motifs économiques, c’est avaliser l’angloconformité. Un texte de l’historienne Valérie Lapointe-Gagnon.
Opinion. Dans une lettre publiée dans le quotidien Le Devoir, les universitaires franco-ontariens Stéphanie Chouinard et Serge Miville estiment qu’il est essentiel de renouer avec la solidarité entre le Québec et la francophonie canadienne.
Agricom, Ontario. Une étude de l’Université de Dalhousie en Nouvelle-Écosse indique que les Canadiens semblent de plus en plus disposés à délaisser la viande pour se tourner vers des repas aux alternatives végétales.