L’offre active repose sur le concept de proposer aux bénéficiaires de soins un service dans la langue de leur choix. Le colloque visait ainsi à amorcer une réflexion sur les défis en la matière. Il cherchait aussi à apporter une meilleure compréhension du sujet auprès des intervenants de la santé.
Le président du comité d’organisation du colloque, Abdoulaye Yoh, résume l’enjeu : «Ce n’est pas parce que l’on forme des professionnels de la santé en français qu’il va y avoir automatiquement des services en français.»
Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal L’Eau vive
Marie-Lou Bernatchez
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