Depuis environ deux ans, alors que la communauté acadienne et francophone de l’Ile préparait le Congrès mondial acadien, Georges Arsenault s’assurait qu’on garde à l’esprit que l’année suivante, 2020, sera l’année où l’on marquera le 300e anniversaire de l’arrivée des premiers colons français et acadiens pour fonder la colonie qui allait devenir l’Ile-du-Prince-Édouard.
Même s’il s’agissait seulement le 300e anniversaire de la présence française à l’Ile-du-Prince-Édouard, ce serait une raison suffisante pour le crier sur tous les toits, mais en plus, c’est véritablement le 300e anniversaire du début de l’agriculture et de la pêche commerciale. «On peut donc dire que 2020 marque le tricentenaire de ces deux occupations dans la province», a indiqué Georges Arsenault le 23 octobre dernier, alors qu’il participait à l’assemblée générale annuelle de l’Association du Musée acadien.
Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal La Voix acadienne

Jacinthe Laforest
Contenu à découvrir

T.N.-O. : Un audit pour améliorer les soins en français

Études universitaires : une entente qui change la donne pour les francophones de la Saskatchewan

Québec veut prioriser ses ententes avec la francophonie en milieu minoritaire

Vers un don de sang plus inclusif
Plus populaires

Québec veut prioriser ses ententes avec la francophonie en milieu minoritaire

Les contradictions identitaires de la francophonie canadienne

Une table nationale pour contrer la maltraitance des ainés francophones
