Actualités
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100 ans d'avancées pour les femmes
4 Décembre 2020 PolitiqueEn 1849, le droit de vote est retiré aux femmes dans le Haut et le Bas Canada. On corrige ainsi une «anomalie historique». A l’époque, le travail de dactylo et de sténographe était traditionnellement masculin parce que jugé trop exigeant pour qu’il soit exécuté par une femme. Même, jusqu’en 1909, il n’était pas illégal d’enlever une femme.Les choses ont changé. Mais une chose demeure : la situation de la femme n’est pas à une surprise près, dans la ligne du temps…
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Cinq choses qui ont changé (ou pas) pour les femmes depuis 1970
4 Décembre 2020 PolitiqueFRANCOPRESSE – Comment assurer aux femmes des chances égales à celles des hommes dans toutes les sphères de la société canadienne? La Commission royale d’enquête sur la situation de la femme au Canada, dirigée par Florence Bird, tente de répondre à cette question en 1970. Après trois ans de recherche et d’audiences, le 7 décembre 1970, les sept commissaires déposent un rapport. Il leur faut 540 pages et 167 recommandations pour orienter l’État dans sa quête à l’égalité hommes-femmes.
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1970 : «la femme» devient un enjeu de société au Canada
4 Décembre 2020 PolitiqueFRANCOPRESSE – Comment arriver à l’égalité entre hommes et femmes dans la société canadienne? À la fin des années 1960, le gouvernement fédéral demande à la journaliste Florence Bird d’étudier la question et de lui proposer des pistes de solutions. Les répercussions s’en font encore sentir 50 ans plus tard.
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Natalia Kusendova devient adjointe parlementaire de la ministre des Affaires francophones de l'Ontario
3 Décembre 2020 PolitiqueL’EXPRESS (Toronto) – Le premier ministre Doug Ford vient de promouvoir la députée Natalia Kusendova (Mississauga-Centre) au poste d’adjointe parlementaire de la ministre des Affaires francophones, Caroline Mulroney.
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Quelle consommation les Fransaskois font-ils des médias?
3 Décembre 2020 SociétéL’EAU VIVE (SASKATCHEWAN) – C’est la question à laquelle tente de répondre Trevor Grey, un candidat à la maitrise en études canadiennes et interculturelles à l’Université de Saint-Boniface à Winnipeg. Originaire de Regina, s’estimant fransaskois lui-même, le jeune chercheur lance un sondage auprès de la population francophone de la Saskatchewan afin d’étudier le lien entre médias et vitalité sociolinguistique.
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L’état des finances publiques ne se réduit pas au montant du déficit
2 Décembre 2020 Économie et financesFRANCOPRESSE – Si l’énoncé économique d’automne révèle, sans surprise, un déficit d’une ampleur historique, les finances publiques tiendront tout de même le coup, selon certains experts. L’énoncé économique d’automne se trouve partagé entre de grandes orientations pour un futur programme de relance économique et d’autres mesures de soutien immédiat aux Canadiens et aux entreprises. Un document qui devrait faire l’objet d’un vote de confiance au Parlement.
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Jouer la carte de la langue
2 Décembre 2020 ActualitéFRANCOPRESSE – Une cascade d’évènements récents a fait en sorte que la protection du français au Québec s’est retrouvée au-devant de l’agenda public. Les partis d’opposition à la Chambre des communes ont saisi l’occasion pour souligner l’urgence de revoir la Loi sur les langues officielles (LLO). Or, cet intérêt nouveau pourrait au contraire retarder une fois de plus sa modernisation tant attendue.
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Le Campus Saint-Jean s’implante à Calgary, Red Deer et Grande Prairie
2 Décembre 2020 ÉducationLE FRANCO (Alberta) – Qu’importe les coupes budgétaires, la seule faculté francophone de la province, située à Edmonton, va s’étendre en Alberta. Ce projet pilote concernera une soixantaine d’étudiants inscrits dans une formation en Éducation (B.Ed). Les premiers étudiants sont attendus pour la rentrée 2021-2022.
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Déclin du français : les jeunes francophones québécois plus inquiets que les jeunes Ontariens
2 Décembre 2020 Société -
Livre blanc : le jeu en vaut-il la chandelle?
1 Décembre 2020 ActualitéFRANCOPRESSE – La Loi sur les langues officielles (LLO) n’a jamais tant délié les langues chez les francophones du Canada. Depuis quelques semaines, d’Ottawa à Québec, la révision de la LLO fait discourir politiciens, politologues, journalistes et chefs de file franco-canadiens. La question est fondamentale pour la survie du bilinguisme canadien, mais le chemin est semé d’embuches.