le Samedi 19 avril 2025
le Mercredi 25 avril 2018 20:00 Actualité

Survival French : une façon de s’intégrer

Pourquoi faire confiance à Francopresse.
Rod MacKinnon de Mont-Carmel, Edna Gallant, enseignante, Carol Caissie de Saint-Gilbert, et Annys Kiddye de Baie-Egmont lors du dernier cours de français Survival French à Abram-Village. —  Absentes de la photo : Judy Casey et Shirley Diamond.
Rod MacKinnon de Mont-Carmel, Edna Gallant, enseignante, Carol Caissie de Saint-Gilbert, et Annys Kiddye de Baie-Egmont lors du dernier cours de français Survival French à Abram-Village.
Absentes de la photo : Judy Casey et Shirley Diamond.
Depuis l’automne 2017, un petit groupe de parents et de grands-parents anglophones de la région Évangéline participent au programme Survival French, une composante du très populaire programme Voir Grand, initié par la Fédération des parents de l’Î.-P.-É.
Survival French : une façon de s’intégrer
00:00 00:00

Comme l’inscription est libre, le nombre de participants a fluctué de 10 personnes à 3 ou 4 au fil des semaines. La toute dernière rencontre du groupe de l’année 2017-2018 a eu lieu le 10 avril, et trois des plus fidèles participants se sont dits enchantés de ces rencontres axées sur la conversation. 

« J’avais pris des cours de français auparavant, mais surtout axés sur la grammaire. Cette fois-ci, c’était davantage la conversation », a indiqué Rod MacKinnon, établi depuis quelques années à Mont-Carmel avec son épouse Nancy, née Richard.

Annys Kiddye et son mari habitent dans l’ancien presbytère de Baie-Egmont. « Nous avons vécu partout dans le monde. Je suis native de l’Angleterre, et mon mari travaillait dans l’industrie du pétrole. Nous avons vécu en Arabie Saoudite, en Alberta et au Nouveau-Brunswick, où mon mari travaillait pour la compagnie Irving », a décrit Annys.

« Puisque nous vivons dans une région acadienne, je veux pouvoir parler en français avec mes voisins. Quand ils se parlent entre eux, ils parlent français et quand je suis là, ils parlent en anglais. Pour moi, apprendre le français est une façon de m’intégrer, de vraiment faire partie de cette communauté », a insisté la dame.

Lire l’article complet sur le site de La Voix acadienne…