
Prêter ou ne pas prêter serment, telle est la question
FRANCOPRESSE – Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Parti québécois brasse la cage de l’Assemblée nationale du Québec ces jours-ci. En refusant de prêter allégeance au roi Charles III, le chef du Parti québécois, Paul St Pierre Plamondon, et les deux seuls autres candidats péquistes élus le 3 octobre dernier, ont réussi à remettre la question du serment d’allégeance à l’avant-plan de l’actualité.