
Ontario : À Rockland, la vente d’un dépanneur signe la fin d’une époque
EAP (Est ontarien) – La belle aventure des 67 ans d’existence à Rockland (Ontario) de l’épicerie Lemieux, devenu le dépanneur Lemieux, prendra fin le 31 mai.
EAP (Est ontarien) – La belle aventure des 67 ans d’existence à Rockland (Ontario) de l’épicerie Lemieux, devenu le dépanneur Lemieux, prendra fin le 31 mai.
IJL LE GABOTEUR (Terre-Neuve-et-Labrador) – Si la pandémie a profondément bouleversé nos sociétés, la pauvreté, elle, a malheureusement prospéré. Pour sensibiliser la population à ce problème important et à ses répercussions économiques et sociales, le Centre canadien de politiques alternatives (CCPA) a publié un rapport intitulé Le cout de la pauvreté dans les provinces de l’Atlantique. Alors que le nouveau gouvernement libéral parle d’audace et de créativité, ce rapport tombe à point.
IJL LA VOIX ACADIENNE (Île-du-Prince-Édouard) – Début avril, le projet de loi qui vise à éliminer la pauvreté à l’Île-du-Prince-Édouard (Î.-P.É) a été adopté à l’unanimité par l’Assemblée législative. L’un des premiers objectifs de ce texte est d’éradiquer l’insécurité alimentaire d’ici à 2030. Pour atteindre cette cible ambitieuse, les universitaires et les politiques sont unanimes : il faut augmenter le revenu minimum et les aides sociales.
FRANCOPRESSE – La gestion des conditions d’accueil des travailleurs temporaires en temps de pandémie a des conséquences importantes pour les agriculteurs. En Ontario, des producteurs laitiers et maraichers remettent en question la rigueur de certaines mesures sanitaires imposées par le fédéral ainsi que les couts qui y sont associés. Les travailleurs étrangers, quant à eux, ne demandent qu’à retourner au champ rapidement.
FRANCOPRESSE – Canadiens français, Acadiens, Québécois, francophones du Canada ; à l’image des mouvances de leurs identités, les «Canadiens d’expression française» ont tour à tour adopté, célébré, boudé et transformé les différentes fêtes nationales, dont les premières ont fait leur apparition au 19e siècle. Après s’en être approprié certaines et en avoir rejeté d’autres, les différentes communautés francophones du Canada tiennent toujours à ces journées qui soulignent leurs particularités et leur histoire.
L’EAU VIVE (Saskatchewan) – Les liens entre Autochtones et francophones sont encore peu étudiés au Canada. Deux professeurs, Jérôme Melançon et Pierrot Ross-Tremblay, respectivement professeurs à l’Université de Regina et à l’Université d’Ottawa, ont voulu apporter leur pierre à l’édifice lors d’une table ronde intitulée Francophonie et Autochtonie.
ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Nouveau chapitre dans la saga de l’examen menant à la profession d’infirmière. La Cour d’appel du Nouveau-Brunswick permet la reprise de la poursuite menée par la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick (SANB) et la Fédération des étudiants et des étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) qui allèguent la violation de droits linguistiques.
L ’AURORE BORÉALE (Yukon) – Le Centre des langues autochtones du Yukon (YNLC) a rendu publiques 72 vidéos dans 12 des 14 langues autochtones du territoire dans le cadre des célébrations de la Journée internationale des langues autochtones, le 31 mars dernier. Anecdotes, récits et contes racontés par les ainé.e.s des Premières Nations, sont ainsi enregistrés, préservés et diffusés. Une façon éducative, technologique et intergénérationnelle de revitaliser les langues autochtones et de les mettre en valeur.
LE VOYAGEUR (Ontario) – La perte de plusieurs programmes en français dans la Faculté des arts de l’Université Laurentienne menace la pérennité des organismes culturels et des médias francophones du Nord de l’Ontario. Les étudiants et les diplômés de la Laurentienne étaient une source de stagiaire et d’employés pour ceux-ci, mais aussi de participants et de spectateurs.