

LE DROIT (Ontario) – Jean-Marie Leduc n’a ni ordinateur ni adresse courriel. Et à 84 ans, le retraité de la fonction publique fédérale d’Ottawa ne veut ni l’un ni l’autre.
LE FRANCO (Alberta) – Ces pages sont les vôtres. Le Franco encourage ses lecteurs à prendre la parole pour exprimer leurs opinions. Cette semaine, Vincent Bouchard, Marc-André Parisien et Maryse Trudel, parents d’élèves scolarisés au Conseil scolaire Centre-Nord, proposent une nouvelle avenue unificatrice pour les écoles francophones en Alberta : transformer les écoles en écoles inclusives pour l’ensemble de la communauté francophone, dans le respect des droits et religions de chacun.
FRANCOPRESSE – Comme tous les ans depuis 1931, le Canada marquera le 11 novembre le jour du Souvenir. Cette année, les cérémonies devront composer avec la pandémie — masques et distanciation physique — mais elles continueront la tradition de reconnaitre le sacrifice ultime des soldats canadiens morts sur les champs de bataille depuis 1914.
LETTRE OUVERTE – Je n’utilise pas le «mot en n», tout simplement parce que les personnes que le mot continue de désigner me l’ont demandé. Indirectement, par des écrits, quoique cela aurait pu être fait directement, puisque je l’ai utilisé en français dans le contexte de cours sur le philosophe antiraciste et de la décolonisation Frantz Fanon. En relation à mes cours en anglais, j’ai tout de même pu apprendre, il y a fort longtemps, que le mot ne se dit pas, même en référence au livre de Pierre Vallières, même en référence à Jay-Z et à son débat avec Oprah Winfrey sur l’emploi du mot par les Noir.es aux États-Unis.
FRANCOPRESSE – Souvent, quand j’anime des ateliers portant sur la lutte antiraciste, on me demande «mais où est ma place, en tant qu’allié.e?». Alors que je prépare ma réponse, je vois et ressens le désespoir de ceux et celles qui ne veulent que bien faire, mais qui cherchent une réponse courte et simple.
FRANCOPRESSE – Au milieu des années 2000, le gouvernement fédéral s’est engagé à ce que les immigrants francophones constituent 4,4 % des immigrants qui s’installent au Canada, hors Québec. Près de 15 ans plus tard, force est de constater que la cible est loin d’être atteinte. Une approche renouvelée est désormais incontournable.