
Les professeurs de l’Université Laurentienne veulent des réponses
LETTRE OUVERTE – Monsieur le Recteur Robert Haché, Le 1er février 2021, lorsque vous avez annoncé que l’Université Laurentienne était insolvable, vous avez écrit ceci :
LETTRE OUVERTE – Monsieur le Recteur Robert Haché, Le 1er février 2021, lorsque vous avez annoncé que l’Université Laurentienne était insolvable, vous avez écrit ceci :
FRANCOPRESSE – Dans le film Retour vers le futur (Back to the Future), paru en 1985, on apprenait comment retourner dans le temps pour changer l’avenir. C’est un peu le pari que prend le leadeurship franco-ontarien afin de garantir la pérennité de l’éducation universitaire en français dans le Nord de l’Ontario.
FRANCOPRESSE – Chaque année, c’est la même rengaine : à l’approche du 8 mars, fleuristes, boutiques de maquillage et magasins de mode féminine s’en donnent à cœur joie. Et que voilà un rabais pour une crème de jour raffermissante à l’huile de perles noires du Brésil, et que voici un code promo pour une paire de bottines vintage en cuir nordique. Achetez deux culottes, repartez avec cinq ; aujourd’hui, c’est votre fête!
FRANCOPRESSE – La ministre des Langues officielles, Mélanie Joly, a récemment publié un «livre blanc» sur la réforme de la Loi sur les langues officielles – LLO pour les intimes. On peut dire que, dans la communauté francophone canadienne, ce document était attendu avec une brique et un fanal. Plusieurs espéraient que la Loi serait modifiée en 2019, lors de son 60e anniversaire. Ils voyaient l’étape d’un livre blanc comme une stratégie pour gagner du temps ; ce qui pouvait sembler une bien mauvaise stratégie de la part d’un gouvernement minoritaire qui, par définition, n’a pas beaucoup de temps.
LETTRE OUVERTE – Ceci est une réaction à la chronique de M. Réjean Grenier, publiée sur votre site Web le mercredi 17 février. Il n’est pas coutume pour la SNA de répondre à une chronique, mais dans le cas qui nous occupe, nous croyons que certaines affirmations devaient être corrigées.
LIBRE OPINION – Chaque année, le Canada accueille une impressionnante variété d’étudiants internationaux désirant poursuivre leurs études en français. Si la grande majorité choisit d’étudier au Québec, plusieurs se dirigent vers les communautés francophones hors Québec. Au cours de la dernière décennie, la population étudiante internationale du Canada a triplé.