Les pluies froides d’automne
Cette équation est simple. Un et un font deux. Il s’agit de la somme de deux valeurs égales. L’anglais plus le français font deux langues officielles. Une loi en reconnait l’existence en ajoutant l’égalité entre deux peuples. Ces courtes phrases décriraient le Canada et ses institutions dont la Cour Suprême pourrait-on croire, mais la réalité s’avère infiniment plus complexe.
La Cour Suprême a le dernier mot sur les litiges entre toutes les institutions et les citoyens qui constituent notre société. Par souci de justice, cet arbitre devrait converser avec la même familiarité avec tous les justiciables au pays, anglophones ou francophones. Ce principe est simple et équitable.