Histoires d’immigration

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Karelle Ngassam, «l’oiseau migrateur» qui n’a pas froid aux yeux
10 juin 2021 FrancophonieFRANCOPRESSE – Depuis son arrivée au Canada en 2017, Karelle Ngassam a vécu à Pointe-de-l’Église et Halifax en Nouvelle-Écosse, à Summerside à l’Île-du-Prince-Édouard, à Ottawa en Ontario et à Iqaluit au Nunavut, où elle réside actuellement. À cette liste s’ajoutera bientôt Yellowknife, capitale des Territoires du Nord-Ouest. Ce n’est pas pour rien que les amis de la Camerounaise d’origine la surnomment «l’oiseau migrateur»!
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Le secret de l’intégration est dans la sauce pour Edmond Segbeaya
3 juin 2021 FrancophonieFRANCOPRESSE – Togolais d’origine, Edmond Segbeaya réside à Nelson, au sud-est de la Colombie-Britannique, depuis maintenant vingt ans. Après avoir passé dix années difficiles en tant que réfugié en Allemagne, il s’est finalement fait parrainer en 2001 pour arriver au Canada, où il a entrepris de développer une recette ancestrale de sauce piquante composée de produits britannocolombiens qui font rêver de l’Afrique.
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S’intégrer grâce au travail : l’histoire de Mabela Misengi
27 mai 2021 FrancophonieFRANCOPRESSE – Arrivée au Canada en juin 2016, Mabela Misengi a quitté son pays natal de République démocratique du Congo dans l’espoir d’offrir plus de stabilité et de meilleures opportunités à ses enfants, tous majeurs. Trouver un emploi a cependant été difficile lors de leur arrivée à Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick. Certains membres de la famille ont décidé de tenter leur chance à Toronto, tandis que Mabela a finalement décroché un emploi dans une garderie francophone. Elle profite aujourd’hui avec bonheur de la tranquillité de la ville, depuis peu à titre de citoyenne canadienne.
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Redonner à sa communauté d’accueil : l’histoire de Jean-Paul Kalwahali
20 mai 2021 FrancophonieFRANCOPRESSE – Lorsqu’il est débarqué en 2016 dans la municipalité de Clare, en Nouvelle-Écosse, pour étudier à l’Université Sainte-Anne, Jean-Paul Kalwahali a vécu le choc de passer d’une grande ville à la petite bourgade tranquille de Pointe-de-l’Église. Cinq ans plus tard, après avoir visité plusieurs provinces canadiennes, il n’échangerait désormais pour rien au monde la tranquillité de Baie Sainte-Marie pour l’agitation de la ville.
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Éduquer pour effacer les étiquettes : l’histoire de Sandra Adjou
13 mai 2021 FrancophonieFRANCOPRESSE – Sandra Adjou se présente comme une fière Canadienne et Béninoise. En 2011, MBA en poche et le ventre bien gonflé par une première grossesse, elle a quitté Paris, où elle s’était installée, à destination du Québec avec son conjoint, Karl Akiremy. Cinq ans plus tard, alors que la famille allait encore s’agrandir, le travail les a attirés à Toronto. Dès leur arrivée dans la Ville Reine, Sandra Adjou a ressenti l’urgence d’agir pour valoriser l’héritage des personnes afrodescendantes.