À compter du 13 avril prochain, Mme Dumont quittera les fonctions de directrice de l’éducation et de secrétaire-trésorière du CEPEO qu’elle occupe depuis 2012 pour devenir la première vice-rectrice aux partenariats, aux collectivités et à l’international de l’UOF.
«Le CEPEO, c’est ma famille et ça, ça ne s’oublie jamais», lance au téléphone celle qui aura travaillé pendant 32 ans pour cette organisation.
Ces émotions sont par contre en contradiction avec l’envie de relever ce nouveau défi professionnel, soutient Édith Dumont.
Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Le Droit
Julien Paquette
Contenu à découvrir
L’Ontario veut transférer des écoles anglaises aux francophones
Les élèves francophones de la région d’Ottawa au-dessus de la moyenne
L’IA générative à l’université : après la «panique totale», l’adaptation
Financement de l’éducation en français : la Loi sur les langues officielles n’améliore rien pour l’instant
Plus populaires
Temps des Fêtes : briser l’isolement des personnes ainées francophones
Patrimoine canadien : le devoir de consultation en éducation confirmé en cour
Mise à jour : 733 nouveaux bureaux de services fédéraux désignés bilingues : qui va les «meubler»?