À compter du 13 avril prochain, Mme Dumont quittera les fonctions de directrice de l’éducation et de secrétaire-trésorière du CEPEO qu’elle occupe depuis 2012 pour devenir la première vice-rectrice aux partenariats, aux collectivités et à l’international de l’UOF.
«Le CEPEO, c’est ma famille et ça, ça ne s’oublie jamais», lance au téléphone celle qui aura travaillé pendant 32 ans pour cette organisation.
Ces émotions sont par contre en contradiction avec l’envie de relever ce nouveau défi professionnel, soutient Édith Dumont.
Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Le Droit
Julien Paquette
Contenu à découvrir

Une première femme en 177 ans à la tête de l’Université d’Ottawa

Études universitaires : une entente qui change la donne pour les francophones de la Saskatchewan

Médecins francophones : chronique d’une pénurie

Hausse des droits de scolarité : incompréhension et colère chez les étudiants de l’Université de Moncton
Plus populaires

Québec veut prioriser ses ententes avec la francophonie en milieu minoritaire

Les contradictions identitaires de la francophonie canadienne

Une table nationale pour contrer la maltraitance des ainés francophones
