POLITIQUE SUR LES CORRECTIONS À FRANCOPRESSE
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La lecture à l’honneur d’un concours de balado (le Mardi 28 novembre 2023 16:16) :
La version précédente de l’article indiquait Maria Opera. Le nom a été corrigé comme suit : Maria Oprea.
L’Alberta, un cas d’école pour les francophones en situation minoritaire (le Jeudi 2 novembre 2023 12:00) :
La version précédente de l’article indiquait :
C’est le déclic. Des citoyens s’organisent et des pétitions circulent pour demander l’ouverture d’écoles en français.
Cette partie de texte a été rajoutée :
En 1983, un groupe de parents crée l’Association Bugnet afin d’encourager l’éducation en français en dehors du système d’immersion.
«C’est inefficace, ce sont des écoles d’assimilation», renchérit le cofondateur de l’Association Bugnet, Paul Dubé, dont le fils fréquentait une classe d’immersion française au début des années 1980.
«Beaucoup s’estimaient déjà chanceux d’avoir l’immersion. Ils pensaient que ça suffisait, témoigne Claudette Roy. Mais l’immersion ne répond pas aux besoins pédagogiques et identitaires des enfants dont le français est la langue maternelle.»
L’Alberta, un cas d’école pour les francophones en situation minoritaire (le Jeudi 2 novembre 2023 12:00) :
La version précédente du texte indiquait :
En septembre 1984, le Conseil scolaire catholique d’Edmonton, qui est anglophone, accepte d’ouvrir la première école francophone financée par des fonds publics en Alberta, l’École Maurice-Lavallée.
Le texte a été modifié comme suit :
En septembre 1984, le Conseil scolaire catholique d’Edmonton, qui est anglophone, accepte d’ouvrir la première école francophone financée entièrement par des fonds publics en Alberta, l’École Maurice-Lavallée.
L’Alberta, un cas d’école pour les francophones en situation minoritaire (le Jeudi 2 novembre 2023 12:00) :
La version précédente du texte indiquait :
Un autre groupe décide, lui, de porter la lutte devant les tribunaux. «Nous ne voulions pas que nos écoles soient gérées, même partiellement, par des anglophones, explique Paul Dubé, l’un des cofondateurs. Nous considérions que nous étions les plus aptes à prendre les décisions adaptées à nos réalités.»
Le texte a été modifié comme suit :
L’Association Bugnet décide, quant à elle, de porter la lutte devant les tribunaux. «Nous ne voulions pas que nos écoles soient gérées, même partiellement, par des anglophones, explique Paul Dubé, l’un des cofondateurs. Nous considérions que nous étions les plus aptes à prendre les décisions adaptées à nos réalités.»
L’Alberta, un cas d’école pour les francophones en situation minoritaire (le Jeudi 2 novembre 2023 12:00) :
La version précédente du texte indiquait :
«On avait une image de têtes brulées, mais on s’était entourés d’avocats. On avait travaillé tous les côtés, financiers, juridiques, statistiques, raconte Paul Dubé. Notre initiative a eu une résonance importante au sein de la société.»
Le texte a été modifié comme suit :
«On est entré en lutte avec l’establishment qui s’opposait à nous. On avait une image de têtes brulées, mais on s’était entourés d’avocats. On avait travaillé tous les côtés, financiers, juridiques, statistiques, raconte Paul Dubé. Notre initiative a eu une résonance importante au sein de la société.»