le Samedi 19 avril 2025

Réjean Paulin

Observateur de la francophonie au Canada et dans le monde, Réjean Paulin a vécu en France, en Acadie, au Québec, en Ontario et dans l’Ouest canadien. Il collabore avec Francopresse depuis août 2015. Il a été en poste à Radio-Canada Saskatchewan et à Radio-Canada Atlantique avant de devenir journaliste indépendant sur la Colline parlementaire à Ottawa. Il a été collaborateur à Radio-Canada, Radio-Canada internationale, Radio Vatican et à la Radio Suisse romande avant de se consacrer à l’enseignement du journalisme au collège La Cité à Ottawa.

De souche acadienne, Réjean Paulin a parcouru la francophonie tout au long de sa carrière de journaliste. Il a aussi vécu en France, au Québec et dans l’Ouest canadien avant de s’établir à Ottawa où il est professeur en journalisme au collège La Cité.

L’immigration pour l’ouverture culturelle

21 avril 2018 Actualité

« Le français, c’est une langue de diversité ». On imaginerait ces paroles tirées du discours d’un orateur habitué de parler aux foules. Il dirait à son auditoire que la langue française vibre partout dans le monde, et qu’elle porte en elle autant d’âmes que de peuples qui la parlent.
Eh bien non! C’est dans une école primaire que j’ai lu ce beau passage. Il était affiché sur le babillard de l’accueil de l’école Mauril-Bélanger à Ottawa.

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De souche acadienne, Réjean Paulin a parcouru la francophonie tout au long de sa carrière de journaliste. Il a aussi vécu en France, au Québec et dans l’Ouest canadien avant de s’établir à Ottawa où il est professeur en journalisme au collège La Cité.

Les pluies froides d’automne

18 Décembre 2017 Actualité

Cette équation est simple. Un et un font deux. Il s’agit de la somme de deux valeurs égales. L’anglais plus le français font deux langues officielles. Une loi en reconnait l’existence en ajoutant l’égalité entre deux peuples. Ces courtes phrases décriraient le Canada et ses institutions dont la Cour Suprême pourrait-on croire, mais la réalité s’avère infiniment plus complexe.
La Cour Suprême a le dernier mot sur les litiges entre toutes les institutions et les citoyens qui constituent notre société. Par souci de justice, cet arbitre devrait converser avec la même familiarité avec tous les justiciables au pays, anglophones ou francophones. Ce principe est simple et équitable.

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