Le nombre de travailleurs disant utiliser « surtout » le français au travail a chuté de 0,2 % dans l’ensemble des provinces autres que le Québec de 2006 à 2016, passant de 1,0 à 0,8 %. Il a également diminué de 0,3 % parmi ceux affirmant l’utiliser « régulièrement » pendant cette même période, tandis qu’il est resté inchangé à 0,6 % parmi ceux utilisant « uniquement » la langue de Molière au travail. C’est ce que révèlent les dernières données du Recensement de 2016 publiées par Statistique Canada le 29 novembre.