Guillaume Deschênes-Thériault
Articles par Guillaume Deschênes-Thériault
Dix souhaits pour la nouvelle année
14 décembre 2022 Chroniques et éditoriauxFRANCOPRESSE – Le temps des Fêtes est à nos portes. Plutôt qu’une liste d’idées de cadeaux de Noël, je propose une liste de 10 souhaits pour les langues officielles pour la nouvelle année.
Un «doigt d’honneur» aux francophones : Blaine Higgs doit partir
26 octobre 2022 Chroniques et éditoriauxFRANCOPRESSE – La politique provinciale au Nouveau-Brunswick a atteint un point de non-retour avec la nomination au cabinet de l’ancien chef du parti de la People’s Alliance, Kris Austin. Un affront majeur de la part du premier ministre Blaine Higgs à l’égard des francophones.
Retour sur le dossier de la modernisation de la Loi sur les langues officielles
3 mai 2021 PolitiqueFRANCOPRESSE – Le gouvernement Trudeau n’a pas adopté une Loi sur les langues officielles modernisée en 2020 comme il s’y était engagé, notamment en raison de la pandémie. Plutôt que de déposer un projet de loi pour la fin de l’année au Parlement, la ministre Joly a opté pour un document de réforme sur les langues officielles déposé au début de 2021.
René Cormier impatient de voir la Loi sur les langues officielles modernisée
4 décembre 2020 FrancophonieFRANCOPRESSE – Le sénateur indépendant du Nouveau-Brunswick René Cormier a été reconduit dans ses fonctions de président du Comité sénatorial permanent des langues officielles pour la présente législature. Nommé au Sénat en 2016, l’artiste acadien a été élu une première fois à la présidence de ce comité en décembre 2017.
Nouvelle tentative pour abaisser l’âge du vote à 16 ans
24 août 2020 PolitiqueFRANCOPRESSE – En juin dernier, la sénatrice indépendante du Manitoba, Marilou McPhedran, a déposé un projet de loi visant à abaisser l’âge du vote à 16 ans lors d’élections fédérales. La Fédération de la jeunesse canadienne-française (FJCF), qui milite pour le vote à 16 ans depuis 2015, appuie avec enthousiasme cette initiative.
Les Acadiens néoécossais espèrent ne pas être à nouveau déçus
31 juillet 2020 PolitiqueFRANCOPRESSE – À l’heure actuelle, le Sénat canadien compte neuf sièges vacants, dont un en Nouvelle-Écosse. Depuis la retraite de Gérald Comeau en 2013, les Acadiens de cette province n’ont plus de sénateurs issus de leur communauté. Entre 2016 et 2018, le premier ministre Trudeau a nommé cinq nouveaux sénateurs néoécossais, mais aucun d’entre eux n’était Acadien. Cela est venu mettre fin à une tradition instaurée par Wilfrid Laurier en 1907 et qui visait à assurer aux Acadiens de la Nouvelle-Écosse une représentation sénatoriale.
Nominations sénatoriales à venir : des attentes élevées chez les francophones de l’Ouest canadien
24 juillet 2020 PolitiqueFRANCOPRESSE – Le Sénat canadien compte présentement neuf sièges vacants, dont trois dans l’Ouest canadien, soit en Colombie-Britannique, en Alberta et en Saskatchewan. Avec la retraite prochaine de la sénatrice Lilian Eva Dyck, qui aura 75 ans en aout, un second siège sera à pourvoir en Saskatchewan. L’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) profite de l’occasion pour réitérer une demande exprimée depuis plusieurs années : la nomination d’un sénateur fransaskois.
Enfin, un juste calcul des ayants droit à l'éducation en français
17 juillet 2020 FrancophonieFRANCOPRESSE – Le 17 juillet 2020, le gouvernement fédéral a rendu public le questionnaire du recensement de 2021 confirmant du même coup que les nouvelles questions permettant de brosser un portrait beaucoup plus précis des personnes ayant le droit à l’éducation en français au Canada figureront aux versions courtes et longues du recensement. La nouvelle est accueillie avec joie d’un bout à l’autre du pays au sein de la francophonie canadienne.
Santé en français : écarts entre obligations légales et offre active
17 juillet 2020 FrancophonieFRANCOPRESSE – Le 4 juin 2020, l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques (ICRML) a rendu publique l’étude L’effectivité des lois linguistiques dans le secteur de la santé. Les chercheurs espèrent ainsi documenter les écarts qui existent entre les droits prescrits par les lois et la réalité quotidienne des francophones en milieu minoritaire, et tenter d’expliquer ces écarts en identifiant les facteurs en jeu.
Les réponses se font attendre alors que le temps presse
3 juillet 2020 FrancophonieFRANCOPRESSE – Le 16 juin 2020, la Fédération des conseils d’éducation du Nouveau-Brunswick (FCÉNB), la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick (SANB) et la Fédération des francophones de Terre-Neuve et du Labrador (FFTNL) ont publié un mémoire conjoint dans lequel ils exhortent le gouvernement fédéral à ajouter des questions au questionnaire court du recensement de 2021 afin de pouvoir dresser un portrait complet du nombre de personnes qui ont le droit à l’éducation en français au Canada.