L’artiste multitalentueux a l’élan créateur de son côté. Celui dont la compagnie se surnomme « Grand poney » a plutôt l’envergure d’un étalon pur-sang qui dévale les plaines de sa vie à vive allure, tout en prenant son temps, celui qui part trop vite et qui ne revient pas, comme un faux départ.
Running piece
Les pas du danseur défilent, eux aussi, dans un rythme tantôt fou, tantôt fougueux, parfois au bord du gouffre effréné d’une course qui suit le courant puis le défie pour signifier son épuisement, la lassitude d’une vie menée dans l’accélération des relations, dans le tourbillon des urgences.
Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal L’Eau vive
Estelle Bonetto
Contenu à découvrir
Plus populaires

IA : Une fausse solution à l’épidémie de solitude

Contexte historique de fondation, jalons et système judiciaire

Garderies à 10 $ : des prix en baisse, mais toujours pas assez de places
