La nature joueuse de l’humain ne date pas d’hier. Il y a 5000 ans, les Égyptiens auraient inventé le tout premier jeu de société dans leurs tombeaux avec des plateaux et de petits pions.
Une soixantaine de jeux dans le placard
Aujourd’hui, les jeux ont bien changé, mais occupent toujours une place de choix dans la vie de certains Néo-Brunswickois, d’autant plus en période de pandémie.
Nadia Hickey LeBouthillier, de Tracadie, fait partie de ceux qui ne manquent jamais l’occasion de jouer une partie. «Ma passion pour les jeux de société dure depuis longtemps! Je pense que ça fait partie de mon ADN», s’est-elle exclamée en riant.
Ayant grandi près de sa tante et ses cousines, la mère de trois enfants garde de bons souvenirs de son enfance à jouer au Monopoly et à Jour de Paye.
Aujourd’hui, c’est à son tour de collectionner les boîtes. Elle en compte d’ailleurs près d’une soixantaine dans son placard.
«Quand j’ai eu des enfants, j’ai continué cette tradition. Ils aiment vraiment jouer eux aussi.»
Lorsque les règles sanitaires le permettaient, cet été, la fanatique de jeux en a profité pour se rassembler avec ses amis autour d’un jeu de cartes ou d’un plateau plus souvent qu’à l’habitude.
«Je pense que la raison pour laquelle j’aime autant les jeux, c’est que j’aime apprendre et trouver des solutions, a-t-elle raconté. Ils me donnent souvent l’occasion de ressortir les différents aspects de ma personnalité.»
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