Son mantra d’oppression fétiche, imaginé à une époque révolue (au XVIIe siècle quand même!), mais toujours répété à ce jour, impose la notion pernicieuse d’un sexe supérieur. En effet, le masculin ne l’emporte-t-il pas sur le féminin? Comment espérer un changement social si notre propre langue nous l’empêche?
Plusieurs pistes de réflexion existent et partagent toutes un point en commun : une remise en question vigoureuse des comportements, privilèges et habitudes. Nous tentons par exemple au journal d’employer l’écriture épicène le plus possible. C’est-à-dire une méthode de rédaction où les termes neutres sont utilisés pour éviter l’usage de cette fameuse règle grammaticale.
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