Chris Attrell capte surtout les symboles des Prairies. C’est-à-dire qu’il se concentre sur les villages fantômes, les élévateurs et les bâtisses abandonnées. Ce qui distingue sa photographie et la rend mémorable est que Chris Attrell prend souvent ses photos la nuit.
Lorsqu’il capte des images de bâtisses délaissées, Chris Attrell y place des lumières à l’intérieur afin de redonner vie à ses sujets négligés. Le photographe souhaite que les structures qui paraissent quelque peu hantées puissent paraitre majestueuses encore une fois.
Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal L’Eau vive
Dominique Liboiron, chroniqueur
Contenu à découvrir
Nunavut : une lutte à deux dans Iqaluit-Manirajak
Vox Pop : «Comment la grève des postes vous affecte-t-elle?»
Edith Dumont invite l’Ontario à célébrer le drapeau franco-ontarien
Mythes et réalités sur les Premières Nations
Plus populaires
Colombie-Britannique : les enseignantes francophones demandent la démission de cinq conseillers scolaires
La qualité de l’interprétation au Parlement sera-t-elle sacrifiée au profit de l’économie?
TV : immigration dans le Grand Nord, téléréalité écolo et femmes d’exception