Tout petit déjà, Sophon Chhin avait le bec sucré. Gourmand, curieux, il s’essayait à la cuisine avec ses parents, réfugiés cambodgiens en Thaïlande, puis immigrants au Canada lorsque Sophon Chhin avait deux ans. Pourtant, l’amateur de sucreries laisse cette passion de côté et deviendra… pharmacien. Le choix de la sécurité, jusqu’au jour où son besoin de créativité le rattrape. « J’ai commencé à me lasser, à avoir besoin de changement. J’avais ce besoin de créer quelque chose qui donne du plaisir aux gens. La pâtisserie, c’est une combinaison de présentation et de goût. C’est de l’art. Il y a tant de possibilités de création. C’est cette liberté qui me plait le plus. »
Morgane Lemée
Contenu à découvrir

Quand l’école gratuite coute cher aux familles

Budget fédéral : Le mot «austérité» a été prononcé

Feux de forêt au Canada : l’angoisse des anciens évacués persiste

Feuilleton de la Colline : services en français, dépenses et conflits internationaux
Plus populaires

Les sœurs Dionne : toute une vie pour obtenir justice

Budget fédéral : Le mot «austérité» a été prononcé

Le programme pour les étudiants étrangers francophones est prolongé et bonifié
