le Lundi 12 mai 2025
le Dimanche 6 mai 2018 20:00 Actualité

Premier programme francophone de résidence en psychiatrie

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Dans l’ordre habituel : Martin Robichaud, directeur médical au Réseau de santé Vitalité, Michel H. Landry, directeur du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, Benoît Bourque, ministre de la Santé, Roger Melanson, président du Conseil du Trésor, et Dominique Dorion, doyen de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke.  — Photo : Acadie Nouvelle/Jean-Marc Doiron
Dans l’ordre habituel : Martin Robichaud, directeur médical au Réseau de santé Vitalité, Michel H. Landry, directeur du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, Benoît Bourque, ministre de la Santé, Roger Melanson, président du Conseil du Trésor, et Dominique Dorion, doyen de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke.
Photo : Acadie Nouvelle/Jean-Marc Doiron
Le Nouveau-Brunswick obtient son premier programme francophone de résidence en médecine spécialisée. Le Service de psychiatrie du Centre hospitalier universitaire Dr-George-L.-Dumont de Moncton accueillera ses premiers médecins résidents en 2019. Le nouveau programme de résidence en psychiatrie permettra de répondre à la demande croissante de soins de santé mentale dans la province, ainsi qu’à assurer une relève pour une génération de psychiatres s’approchant de l’âge de la retraite. À partir de 2019, deux résidents seront admis par année au programme de cinq ans. Il s’agit du premier programme de stage postdoctoral en Acadie à l’extérieur de celui de la médecine familiale.
Premier programme francophone de résidence en psychiatrie
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Vendredi après-midi, le directeur du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick, Michel H. Landry, a souligné que son équipe travaille depuis trois ans et demi afin de mettre sur pied la résidence en psychiatrie à Moncton.

Sa vision réalisée, il n’a pas caché le fait qu’il est « extrêmement content ».

« La mission du programme de formation est de former des gens pour répondre aux besoins des communautés. Au niveau de la santé mentale, il y a un grand grand besoin », mentionne celui qui est aussi doyen associé de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke.

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