« J’ai toujours voulu écrire un bon caper. Un caper, c’est un roman où les héros sont des criminels. Dans un caper, des voleurs, des gangsters, etc., se liguent pour accomplir une tâche donnée. Dans certains cas, il s’agit d’un vol. Dans d’autres, un kidnappage. »
Dans le cas d’A Murder’s Hunt, le caper à accomplir est un meurtre. Ou plutôt, un assassinat. La ville d’Othloh vit sous l’emprise de bandes criminelles qui maintiennent une paix fragile. « Lorsque Kestrel Fulani, un seigneur du crime, se met à déstabiliser cette paix, pour s’en débarrasser trois autres boss embauchent une équipe de mercenaires qui opère sous le nom d’Occisor. [NDLR “tueur”, en latin]. »
Il s’ensuit une série de péripéties que l’auteure refuse de commenter, par souci de ne pas trop divulguer, de « réduire le plaisir du lecteur ». « J’ai pris un plaisir fou à fignoler plusieurs intrigues pour divertir les lecteurs. Pourquoi leur gâcher le plaisir de la découverte ? »
Daniel Bauhaud
Contenu à découvrir

Feuilleton de la Colline : francophonie et fête d’un Canada «uni»

Nouveau-Brunswick : des commentaires xénophobes rapidement dénoncés dans le Nord-Ouest

G7 : des signaux encourageants, maintenant place à l’action

Feux de forêt : les incendies consument aussi la santé mentale
Plus populaires

De plus en plus de fonctionnaires exemptés d’apprendre le français

Loi sur les langues officielles : Steven Guilbeault promet des règlements d’ici Noël

Lectures d’été : les coups de cœur de l’équipe de Francopresse
