Selon l’organisatrice de l’évènement, Myriam Ben Nasr, il s’agit sans aucun doute d’un succès.
« Absolument », a-t-elle répondu lorsque nous lui avons demandé si elle était satisfaite du taux de participation. « Je suis même très surprise, et je me réjouis de la qualité du spectacle », a-t-elle ajouté.
Huit équipes, représentant chacune une nationalité, ont offert des affrontements chaudement disputés aux supporteurs. Chaque formation devait avoir, au minimum, deux joueurs de nationalités différentes de celle représentée par l’équipe. Une décision qui a été accueillie à bras ouverts par Alpha Barry, un participant de l’équipe du Sénégal.
« On vient de lancer un excellent message que notre culture francophone, dont nous sommes l’expression, est une culture colorée », note-t-il.
FRANCOPRESSE : Pour poursuivre la lecture…
Pierre-Émile Claveau
Contenu à découvrir

Quand l’école gratuite coute cher aux familles

Budget fédéral : Le mot «austérité» a été prononcé

Feux de forêt au Canada : l’angoisse des anciens évacués persiste

Feuilleton de la Colline : services en français, dépenses et conflits internationaux
Plus populaires

Les sœurs Dionne : toute une vie pour obtenir justice

Budget fédéral : Le mot «austérité» a été prononcé

Quand l’école gratuite coute cher aux familles
