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le Mercredi 30 septembre 2020 11:34 Actualité

Des noms qui en disent long

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Northeastern Manitoulin and the Islands, Asabiinyashkosiwagong Nitam-Anishinaabeg et Macdonald, Meredith and Aberdeen Additional sont parmi les communautés de la région avec les plus longs noms. — Michael Schwarzenberger – Pixabay
Northeastern Manitoulin and the Islands, Asabiinyashkosiwagong Nitam-Anishinaabeg et Macdonald, Meredith and Aberdeen Additional sont parmi les communautés de la région avec les plus longs noms.
Michael Schwarzenberger – Pixabay
LE VOYAGEUR (Sudbury) – Northeastern Manitoulin and the Islands, Asabiinyashkosiwagong Nitam-Anishinaabeg et Macdonald, Meredith and Aberdeen Additional sont parmi les communautés de la région avec les plus longs noms. Avec une quarantaine de caractères dans leur nom respectif, ces trois collectivités semblent avoir une longueur d’avance sur leurs voisins concernant le nombre de lettres et d’espaces dans leur appellation officielle.
Des noms qui en disent long
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Northeastern Manitoulin and the Islands – 39 caractères

La Ville de Northeastern Manitoulin and the Islands est une municipalité de 2700 âmes située à la porte d’entrée de l’ile Manitoulin – en face du chenal nord du lac Huron. Elle a été fondée vers la fin du dernier millénaire quand la ville de Little Current et le Canton de Howland, McGregor Bay and Bay of Islands ont été fusionnées en 1998.

La communauté est reconnue entre autres pour son centre-ville pittoresque, son quai de 560 mètres et son histoire marine qui remonte à l’époque des voyageurs.

Asabiinyashkosiwagong Nitam-Anishinaabeg – 40 caractères

Asabiinyashkosiwagong Nitam-Anishinaabeg est la désignation officielle dans la langue ojibwée d’une Première Nation dans le nord-ouest de la province. Mieux connu sous le nom de Grassy Narrows, le nom de cette réserve autochtone signifie «Peuple Anishinaabe de la région herbeuse où l’étendue d’eau se rétrécit».

Grassy Narrows est une communauté de 638 résidents à 90 kilomètres au nord de la ville de Kenora, à quelques heures de la frontière entre l’Ontario et le Manitoba. Malheureusement, ce sont plutôt les enjeux de contamination de la rivière Wabigoon et les pratiques de coupes à blanc sur leurs terres ancestrales qui semblent y faire les manchettes depuis quelques décennies.