C’est dans un ranch au sud de Winnipeg que Floriane Vermeire et Anthony Page nous attendent. Au milieu de cette ambiance bucolique, seuls les chevaux et les amis des chevaux ont droit de cité.
Tôt dans sa vie, Floriane Vermeire, maintenant âgée de 18 ans, est tombée en amour avec les chevaux. Elle raconte : « C’est de famille. Toute petite, j’étais entourée par les chevaux. Mon frère en avait un, ma mère aussi. » Dans pareil contexte, elle commence à pratiquer le dressage et le saut d’obstacle.
Comme les autres cavaliers, elle utilise un mors, une selle, des rênes ou encore des étriers. « Mais, je me suis rendue compte qu’il me manquait quelque chose. Je voulais une meilleure connexion avec le cheval. S’il y a un problème, souvent, les cavaliers cherchent à s’imposer plus sur l’animal. Alors qu’il suffit de l’écouter. C’est juste un autre langage, un langage qu’il faut travailler avec le corps. »
Marie Berckvens
Contenu à découvrir

Les Inuit se souviennent de la visite historique du pape François à Iqaluit

Malgré la défaite, Pierre Poilievre «tient toujours son parti»

Feuilleton de la Colline : le gouvernement revient, libéral et minoritaire

Élection fédérale : Rebecca Alty s’impose aux TNO
Plus populaires

Mark Carney veut ralentir l’immigration temporaire pour «réduire la pression»

Réfugiés climatiques : le Canada aussi touché

Meta enrichie par la campagne électorale fédérale canadienne
