Dans la ruée de la saison des semences, le long processus impliqué dans la mise en marché et l’accès de ces semences, qui sont essentiellement à la base de la société humaine, est souvent négligé. En effet, le sort de l’humanité tout entière repose sur le matériel génétique renfermé dans chacune de ces petites graines qui représentent des milliers d’années de sélection génétique naturelle ou plus récemment, d’ADN recombiné (ADNr).
Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), la population humaine pour l’année 2050 est estimée à plus de 9 milliards d’habitants. La pro de leurs récoltes pour leur prochaine saison des semis. Dans leurs champs, il n’y a aucune distinction entre les plants destinés à l’alimentation humaine et les plants réservés à la production de semences. Pourtant les critères de sélection pour ces deux types d’utilités diffèrent invariablement. Conséquemment, la qualité des semences laisse souvent à désirer et contribue à la stagnation du progrès et l’inefficacité des systèmes de production.
Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Agricom
Evelyn Levac
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