Le Voyageur a entendu un récit très particulier. Mais comme les personnes touchées par ces situations nous ont demandé de ne pas les nommer, nous tairons leur nom et ceux des paroisses.
Dans le cas qu’on nous a raconté, un prêtre francophone s’est fait refuser sa demande de résidence permanente par l’Ontario pour deux raisons principales : son salaire n’était pas suffisamment élevé et il ne supervise pas suffisamment d’employés pour justifier que sa présence était essentielle. Des critères difficiles à rencontrer lorsque l’on fait vœu de pauvreté, ou que votre salaire est plus bas parce que vous avez d’autres avantages, et que vous avez seulement besoin d’embaucher une secrétaire et d’un concierge, par exemple.
Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Le Voyageur

Julien Cayouette
Contenu à découvrir

Élection fédérale : les propositions pour le logement pour les plus vulnérables se construisent

Élection fédérale : les promesses des partis pour sortir de la crise du logement

L’Église Vieille Catholique de la C.-B. : un lieu de culte et de communion culturelle à Vancouver

L’aventure extraordinaire de la Compagnie de la Baie d’Hudson
Plus populaires

Intentions de vote : les francophones minoritaires penchent vers les libéraux

Élection fédérale : un débat enflammé sur les enjeux francophones

Comment contrer le déclin du vote chez les jeunes
