Réunis à l’Université d’Ottawa (Ud’O) lundi, les représentants de la Table postsecondaire de l’Ontario français demandent aux chefs des différents partis politiques de dévoiler leur plan pour les universités bilingues et les collèges francophones de la province.
« Graduellement ce qui arrive c’est qu’on perd des programmes et chaque fois qu’un programme disparaît c’est l’offre qui diminue et c’est important qu’on soit capable de maintenir une bonne offre de service. On veut trouver un équilibre avec les programmes offerts dans les institutions anglophones », soutient Carol Jolin, président de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO).
De son côté, le recteur de l’Ud’O, Jacques Frémont, estime qu’un élève franco-ontarien n’a pas l’occasion d’étudier en français dans un domaine où la main-d’œuvre sera en demande au cours des prochaines années.
Sylvie Branch
Contenu à découvrir

Les Inuit se souviennent de la visite historique du pape François à Iqaluit

Malgré la défaite, Pierre Poilievre «tient toujours son parti»

Feuilleton de la Colline : le gouvernement revient, libéral et minoritaire

Élection fédérale : Rebecca Alty s’impose aux TNO
Plus populaires

Mark Carney veut ralentir l’immigration temporaire pour «réduire la pression»

Réfugiés climatiques : le Canada aussi touché

Meta enrichie par la campagne électorale fédérale canadienne
