LETTRE OUVERTE – Avec la crise que vit actuellement l’Université Laurentienne, ce n’est plus l’heure de déterrer les épouvantails, mais plutôt celle de se tourner vers l’avenir. C’est particulièrement vrai pour cette francophonie touchée par des coupes que je ne peux désigner que de cavalières, d’irréfléchies et d’insensibles.