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le Vendredi 17 avril 2020 10:42 Actualité

Le nouveau visage de la chirurgie moderne

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La Dre Roxanne Leblanc raconte sa détermination à vouloir poursuivre le domaine de la chirurgie générale, malgré une perception négative de cette carrière, selon laquelle les chirurgiens n’ont aucune vie personnelle, à cause de la nature exigeante de leur travail. — Cristiana Mandru
La Dre Roxanne Leblanc raconte sa détermination à vouloir poursuivre le domaine de la chirurgie générale, malgré une perception négative de cette carrière, selon laquelle les chirurgiens n’ont aucune vie personnelle, à cause de la nature exigeante de leur travail.
Cristiana Mandru
EDITION ANDRÉ PAQUETTE (Ontario) – Des journées de travail interminables, des nuits blanches passées à faire des chirurgies difficiles, la vie privée sacrifiée sur l’autel du Travail qui prend toute la place: telle est la perception du métier de chirurgienne générale que Dre Roxanne Leblanc a dû confronter durant ses années de formation à la Faculté de médecine à Ottawa… pour en sortir victorieuse et démontrer que les temps ont bien changé!
Le nouveau visage de la chirurgie moderne
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«Il y avait même quelqu’un à un moment donné qui m’avait dit que j’étais trop gentille pour la chirurgie générale et que je devais plutôt me diriger vers quelque chose comme la gynécologie. Mais moi, je n’avais pas cette perception-là. J’avais vu des femmes chirurgiennes générales avec lesquelles je pouvais m’identifier. C’est donc comme ça que tout a commencé», sourit Dre Roxanne Leblanc, en racontant son parcours vers la chirurgie générale.

Dre Leblanc travaille à l’Hôpital Général de Hawkesbury (HGH) depuis deux ans. Elle fait partie d’une équipe de cinq chirurgiens, dont trois femmes et deux hommes, qu’elle qualifie comme d’équipe jeune, dynamique, qui travaille très bien ensemble. 

La chirurgie est l’une des seules spécialités de l’hôpital, ce qui signifie que les médecins ont beaucoup d’appui, puisqu’il y a toujours quelqu’un de garde, 24 heures sur 24, sept jours sur sept. L’emploi vient avec ses défis, mais aussi avec beaucoup de bénéfices, ce qui crée un grand engagement envers l’hôpital, explique Dre Leblanc.